L’essentiel
Un parc éolien à la frontière de la Somme et l'Oise
Le projet de « Centrale Eolienne de Falvieux » (CEFAL) se situe dans la région Hauts-de-France, à environ 40 km au nord de Compiègne, à cheval sur les départements de la Somme (80), avec 4 communes concernées : Balâtre, Biarre, Billancourt, Cressy-Omencourt; et l’Oise (60), avec la commune de Solente. Il s’agit d’une zone dominée par les grandes cultures, caractérisée par la faible densité de son habitat.
Le parc éolien de Falvieux est composé de 6 éoliennes pour une puissance totale installée d'environ 25 MW. Le chantier débutera courant 2020 pour une mise en service fin 2020.
Avec l'appui des élus locaux, il a été développé par la société VOL-V ER, producteur français d’électricité renouvelable en France.
Afin de continuer à associer les citoyens à ce projet, VOL-V ER vous propose de participer au financement de ce parc dès cette année.
L'ajout de deux éoliennes supplémentaires sur le même site est également à l'étude et pourra faire l'objet d'un second appel à financement auprès des citoyens.
La concrétisation d'une volonté de territoire
Un projet en cohérence avec les objectifs de développement des énergies renouvelables
Le projet éolien de Falvieux s’inscrit dans un contexte global de développement des énergies renouvelables, ce développement constituant une des réponses à des enjeux majeurs que sont les changements climatiques, la raréfaction des sources d’énergie fossiles et l’indépendance énergétique des nations.
Dans ce cadre, l’Union Européenne a adopté le paquet Énergie Climat le 12 décembre 2008. Cette politique fixe comme objectif à l’horizon 2020 de porter la part des énergies renouvelables à 20% de la consommation totale de l’Union Européenne contre 12,5 % en 2010.
En France, la loi Grenelle I confirme les objectifs européens, en fixant à un minimum de 23 % la part des énergies renouvelables dans les consommations nationales en 2020. La France doit donc installer 19 000 MW d’éolien terrestre et 6 000 MW d’éolien en mer d'ici 2020, sachant que la puissance installée en France était de 9 143 MW au 1er janvier 2015 (SER 2015).
Enfin, la Loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte a été adoptée le 17 août 2015 et publiée au journal officiel le 18 août 2015. Cette loi va permettre à la France de contribuer plus efficacement à la lutte contre le dérèglement climatique et de renforcer son indépendance énergétique.
Localisation du projet
Un projet situé sur une zone de grandes cultures agricoles
Le projet de « Centrale Eolienne de Falvieux » se situe dans la région Hauts-de-France, à environ 44 km au Sud-Est d’Amiens, sur 4 communes du département de la Somme (80), et une commune dans le département de l’Oise (60). Il est constitué aujourd’hui de 6 éoliennes: une à Balâtre, une à Biarre et une à Billancourt, une à Cressy-Omencourt et 2 à Solente. Au niveau géomorphologique, les éoliennes se trouvent sur la bordure Sud du vaste plateau du Santerre.
Il s’agit d’une zone dominée par les grandes cultures, caractérisée par la faible densité de son habitat. Les 6 éoliennes sont situées à plus de 700 m des premières habitations.
Ses habitants sont familiarisés avec la filière éolienne du fait de la présence de plusieurs parcs éoliens aux alentours.
Le site retenu a été sélectionné sur la base d’une étude de faisabilité qui a révélé l’absence de contraintes majeures au niveau local et l’existence d’un potentiel éolien exploitable :
L’ensemble de la Picardie dispose ainsi d’un gisement de vent important, intéressant à exploiter dans le cadre d’un projet éolien. Le Schéma Régional Éolien a évalué une vitesse moyenne du vent au sein de la ZIP de 5 à 5,5 m/s à 40 m. Il est à noter que le contexte local peut influencer ces valeurs (topographie, rugosité, etc.). C’est pourquoi, afin de préciser le potentiel du site, le maître d’ouvrage a fait réaliser une évaluation préliminaire du vent par un bureau d'études spécialisé. Cette évaluation a confirmé que le gisement du site se situe au sein de la fourchette de l’atlas régional. Elle a également révélé que le potentiel augmentait de manière importante avec l'augmentation de la hauteur des éoliennes. La productivité moyenne d’une éolienne augmente ainsi de 25% environ entre 80m et 120m de hauteur au moyeu. D’autre part l’étude a mis en avant que les éoliennes de grand rotor (de l’ordre de 140 mètres de diamètre) sont les plus adaptées aux conditions de vent du site.
La concertation avec les élus locaux et les acteurs du territoire (propriétaires, agriculteurs, population locale) a aussi joué un rôle important dans le choix du site. Diverses délibérations favorables des conseils municipaux des communes concernées, et diverses rencontres avec les élus des intercommunalités, ont jalonné le développement du projet éolien de Falvieux. Ainsi, les 5 communes et 3 intercommunalités directement concernées par les implantations ont accompagné le projet.
Données énergétiques
Une production d'électricité respectueuse de l'environnement
La centrale éolienne de Falvieux disposera d’une puissance installée d’environ 25 MW et produira environ 70 GWh par an*, soit l’équivalent de la consommation électrique annuelle de plus de 37 000 personnes vivant en France**. Le parc produira donc chaque année plus de 90% des besoins de la ville de Compiègne, ou plus de 28% des besoins de la ville d’Amiens.
Cette production décarbonée et respectueuse de l'environnement, par opposition aux ressources fossiles, permettra de préserver l'environnement en évitant l'utilisation d'une électricité issue de centrales polluantes et réduira de fait les émissions de CO2. Le parc éolien de Falvieux permettra d’éviter le rejet dans l'atmosphère de plus de 54 390 tonnes de CO2 chaque année***, équivalent à la pollution générée par une voiture sur 50 millions de km.
Le parc éolien de Falvieux aura donc un impact positif sur le climat.
* productible prévisionnel sur la base des données relevées lors des études | ** source Banque Mondiale | *** source RTE
Données écologiques
Un projet cohérent avec le territoire et respectueux des enjeux environnementaux
Les projets éoliens sont soumis à plusieurs autorisations : autorisation d’urbanisme, autorisation de produire de l’électricité et, dans le cas des projets en mer, concession d’utilisation du domaine public maritime. Ils ont l’obligation de réaliser une évaluation environnementale préalable.
Les projets terrestres dont la hauteur du mât est supérieure à 50 mètres font l’objet d’une étude d’impact (article R. 122-8 du code de l’environnement) et d’une enquête publique (article R. 123-1 du code de l’environnement). Les projets dont la hauteur du mât est inférieure ou égale à 50 mètres font l’objet, non pas d’une étude d’impact (article R. 122-5 du code de l’environnement), mais d’une notice d’impact (article R. 122-9 du code de l’environnement, 13°).
L’autorité environnementale émet alors un avis sur le projet, qui est joint au dossier proposé à l’enquête publique. Cet avis vise à éclairer les citoyens sur la manière dont le porteur de projet a pris en compte les enjeux environnementaux. L'objectif de l’enquête publique est d’informer les citoyens et de recueillir leurs appréciations, suggestions et contre-propositions.
Dans le cadre de l’évaluation de la zone d’étude, plusieurs enjeux environnementaux ont été mis en évidence. Ces enjeux ont été intégrés dans la conception du projet afin d’aboutir à un projet de moindre impact, qui évite les zones les plus sensibles.
Concernant la géologie, le sous-sol de la zone d’implantation est principalement constitué d’un faciès de craie, sur lequel repose des limons. Les caractéristiques du sol et du sous-sol ne présentent pas de contraintes particulières.
Aucune zone protégée ou inventoriée au titre du patrimoine naturel, aucune zone identifiée dans le Schéma Régional de Cohérence Écologique, ne sont incluses dans la zone d’implantation et ses abords.
Les inventaires floristiques réalisés dans la zone d’implantation potentielle ont permis d’établir que les cultures représentent 96% de la surface totale et les autres habitats présents sont classiques des plaines picardes (bordures de routes, surface de stockage agricoles,...). Aucune espèce floristique inventoriée lors de l’étude ne présente un statut de protection. Le projet éolien aura un impact faible sur les habitats naturels et les espèces végétales car il est situé en dehors des secteurs d’intérêt.
Les oiseaux nicheurs sont communs à très communs et essentiellement liées aux grandes cultures. Par ailleurs, le site n’est pas un passage migratoire important pour les oiseaux.
L’activité des chauves-souris qui a été enregistrée lors de l’étude est très faible, notamment à proximité des éoliennes du projet. A noter que les éoliennes sont situées à plus de 200 m de toute structure arborée. Concernant les autres groupes faunistiques, les espèces recensées sont communes et présentent peu d’enjeux.
Les éléments de patrimoine d’importance régionale sont rares dans les 20 km autour du site éolien. Il n’existe aucun site référencé comme UNESCO, classé ou inscrit à moins de 20 km du site. La ville de Noyon est un enjeu important de par la concentration des monuments historiques qu’elle accueille. Au vu de l’éloignement (>16 km) et de la configuration du relief, les éoliennes ne seront pas visibles depuis cette ville.
En ce qui concerne le paysage, le parc éolien de Falvieux a été conçu de manière réfléchie et concertée ; en prenant en compte le contexte éolien. Le paysage local et quotidien a été particulièrement étudié.
Conformément à la réglementation (article L.553-1 et suivants du Code de l’environnement, arrêté du 26 août 2011, modifié par l’arrêté du 6 novembre 2014), la Centrale éolienne de Falvieux constituera une garantie financière destinée au démantèlement et à la remise en état du site. Les opérations de démantèlement couvriront en particulier : les aérogénérateurs, les postes de livraison, les câbles dans un rayon de 10 m autour des aérogénérateurs et des postes de livraison, l’excavation des fondations sur une profondeur de 1 mètre, la remise en état des plates-formes et des chemins d’accès sur une profondeur de 40 cm et le remplacement par des terres comparables à celles situées à proximité sauf si le propriétaire des terrains souhaite un maintien en l’état.
Données techniques et financières
Un investissement total de plus de 29 millions d'euros
Le principe de fonctionnement de l’énergie éolienne repose sur la transformation de l’énergie cinétique en énergie électrique : le vent fait tourner des pales qui font elles-mêmes tourner le générateur de l’éolienne. À son tour le générateur transforme l’énergie mécanique du vent en énergie électrique. Le courant électrique est ensuite transformé et injecté dans le réseau électrique pour alimenter nos foyers. Il peut être stocké pour être utilisé plus tard.
Un parc éolien terrestre comporte les éléments suivants : un ensemble d’éoliennes et leurs fondations, une voie d’accès et une piste de dessertes inter-éoliennes, un réseau de câbles enterré, un poste de livraison, un poste de transformation situé à l’extérieur ou à l’intérieur de chaque éolienne et un câble de raccordement au réseau électrique.
En cas de raccordement au réseau haute tension (HTB), un poste de transformation haute tension (ou poste source) est nécessaire au pied de la ligne haute tension. Ce poste est soit existant, soit construit par le porteur de projet (poste client).
Source : Enercon
Le parc de Falvieux sera constitué de 6 éoliennes d’une puissance cumulée de la centrale d’environ 25 MW. L’éolienne retenue est le modèle Enercon E138, présentant une puissance unitaire de 4.2 MW, une hauteur de moyeu d’environ 108 mètres et un diamètre du rotor de 138 mètres, soit une hauteur en bout de pale d’environ 177 mètres.
Source : VOL-V ER
La construction du parc éolien de Falvieux, ainsi que son raccordement au réseau, nécessitent un investissement total de l’ordre de 29 millions d’euros.
Les études de productible estiment une production attendue d’environ 70 millions de kWh par an.
Les retombées économiques sur le territoire seront de plusieurs natures. Les agriculteurs recevront une indemnisation en dédommagement des surfaces de cultures cédées, et les propriétaires un loyer pour la location des terrains. Par ailleurs, les collectivités locales (Région, Départements, Communautés de communes et communes) percevront des retombées fiscales d’environ 290 000 euros du fait de l’exploitation du parc éolien sur leur territoire.
Chronologie du projet
Une mise en service prévue pour fin 2020
- Printemps 2013
Premiers contacts locaux - Printemps 2014
Lancement des études d’impact - Eté 2015
Validation du projet de 6 éoliennes par les acteurs locaux - Août 2017
Autorisation préfectorale d’exploiter le parc éolien de Falvieux - Eté 2018
Lancement des études pour l’ajout de 2 éoliennes supplémentaires - Octobre 2019
Lancement du financement participatif - Novembre 2019
Enquête publique pour l’ajout de 2 éoliennes à la Centrale éolienne de Falvieux - Février 2020
Lancement du chantier des 6 éoliennes du parc éolien de Falvieux - Fin 2020
Mise en service des 6 éoliennes du parc éolien de Falvieux - A suivre…
Autorisation, puis financement, construction et mise en service des 2 éoliennes supplémentaires
Pourquoi investir
Placer une partie de son épargne dans la transition énergétique
A travers cette campagne de financement participatif, VOL-V ER souhaite associer les citoyens, et en premier lieu les riverains directs du parc éolien (communes de Balâtre, Biarre, Billancourt, Cressy-Omencourt et Solente), ainsi que les communautés de communes du Grand Roye, de l’Est de la Somme et du Pays des Sources, à son projet de parc éolien, en leur proposant d’y placer directement une partie de leur épargne.
En permettant à tout un chacun de participer à ce projet, VOL-V souhaite redistribuer sur le territoire une partie des richesses produites par le parc, afin que les habitants du territoire puissent bénéficier des retombées économiques générées par l’exploitation d'une ressource naturelle commune : le vent.
C’est l’opportunité pour chaque citoyen de s’informer et de s’investir à son échelle dans le développement des énergies renouvelables, en contribuant collectivement et directement à la réussite de la transition énergétique de notre territoire.
VOL-V ER propose aux citoyens de contribuer ensemble au financement du projet à hauteur de 150 000 €. Les fonds collectés représentent le montant en fonds propres nécessaire au financement d’une turbine.
En investissant par exemple 1000 € dans ce projet, vous contribuerez à la production de 2400 kWh d'électricité d'origine renouvelable chaque année. Pour vous donner un ordre de grandeur, c’est à peu près 35 % de la totalité de vos besoins énergétiques annuels nécessaires pour vous déplacer, vous chauffer, vous éclairer ou encore utiliser des services électriques divers tels que votre télévision, votre téléphone ou votre ordinateur.
Pour permettre aux riverains du projet de bénéficier en priorité de l’opportunité d’investissement, la collecte de financement participatif fera l’objet d’un phasage :
• Du 14 au 28 novembre - Réservée aux communes
Les habitants et propriétaires des communes de Balâtre, Biarre, Billancourt, Cressy-Omencourt et Solente pourront investir pendant toute la durée de la collecte. Toutefois, afin de favoriser les investissements locaux, la collecte leur sera exclusivement réservée durant la première phase, du 14 au 28 novembre.
• Du 28 novembre au 12 décembre - Réservée aux Communautés de communes
A partir du 28 novembre, ce sont les habitants et propriétaires des communautés de communes du Grand Roye, de l’Est de la Somme et du Pays des Sources. qui pourront à leur tour participer au financement du projet.
• Du 12 décembre au 9 janvier 2020 - Réservée aux départements
A partir du 12 décembre, la collecte sera ouverte à tous les habitants de la Somme, l’Oise et leurs départements limitrophes (Pas-de-Calais, Nord, Aisne, Seine-et-Marne, Val-d’Oise, Eure, Seine-Maritime).
Premier producteur français d’électricité 100 % renouvelable, avec une puissance installée supérieure à 4 000 MW et plus de 15 TWh de production, CNR transforme l’énergie de l’eau, du vent et du soleil. Elle réunit l’ensemble des compétences industrielles liées à la production et à la gestion de ce mix énergétique, de la conception des infrastructures jusqu’aux opérations de marché.
Depuis 1934, CNR aménage et exploite le fleuve Rhône dans le cadre d’un contrat de concession à travers trois missions solidaires : produire de l’hydroélectricité et, grâce aux ressources tirées du bien commun qu’est le fleuve, faciliter la navigation et irriguer les terres agricoles environnantes.
Réunissant près de 1 500 collaborateurs, elle exploite de façon synchronisée 19 barrages-usines au fil de l’eau, surveille et téléconduit 14 écluses à grand gabarit, gère 17 sites industriels et portuaires, surveille et entretient le lit du fleuve et l’ensemble de ses aménagements, œuvre à la préservation des milieux naturels, alimente 500 prises d’eau... Elle valorise auprès de clients français et internationaux ses multiples savoir-faire en ingénierie acquis sur la concession du Rhône.
Redistributif, le modèle industriel de CNR concilie les différents usages de l’eau. Il sert également l’aménagement et le développement du sillon rhodanien, en partenariat avec les territoires, via des missions d’intérêt général menées dans le cadre de plans quinquennaux nommés Plans 5Rhône. Les revenus issus du fleuve lui donnent aussi les moyens d’explorer les technologies du futur et de bâtir avec les territoires des solutions énergétiques et écologiques innovantes partout en France (hydrogène renouvelable, batteries, énergie osmotique...).
CNR compte également dans ses actifs plus de 120 parcs éoliens et photovoltaïques dans l’Hexagone. Ces nouvelles énergies devraient représenter près de 45 % de sa puissance installée en 2030.
Ses racines rhodaniennes apportent à CNR non seulement les capacités techniques et financières, mais aussi la fibre environnementale et sociétale pour bâtir un monde plus durable.
Entreprise engagée et responsable, sa raison d’être exprime le modèle qu’elle incarne depuis sa création :
« le Rhône pour origine, les territoires pour partenaires, les énergies renouvelables pour l’avenir ».
Structure à taille humaine, CNR se distingue par le fort sentiment d’appartenance de ses salariés. Travailler pour une entreprise qui, créée voici 90 ans pour servir avant tout la nation et l’intérêt général, produit des énergies 100 % renouvelables, innove et s’attache à pérenniser la vie du fleuve Rhône est source de fierté. Le modèle CNR fait d’autant plus de sens à l’heure où la France doit décarboner son économie et se réindustrialiser.
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Simulateur
Simulation d'investissement
Falvieux - Minibon 5%/an sur 2 ans
Simulation - Taux : 5% / an sur 2 ans
Investissement initial :
1 000 €
Remboursements et intérêts :
1 057,07 €
En 8 versements
Date | Intérêts* | Capital | Montant |
14/04/2020 | 12,5 € | 119,63 € | 132,13 € |
14/07/2020 | 11 € | 121,13 € | 132,13 € |
14/10/2020 | 9,49 € | 122,64 € | 132,13 € |
14/01/2021 | 7,96 € | 124,17 € | 132,13 € |
14/04/2021 | 6,41 € | 125,72 € | 132,13 € |
14/07/2021 | 4,83 € | 127,3 € | 132,13 € |
14/10/2021 | 3,24 € | 128,89 € | 132,13 € |
14/01/2022 | 1,64 € | 130,52 € | 132,16 € |
Total | 57,07 € | 1 000 € | 1 057,07 € |
*Intérêts bruts avant impôts, tous frais inclus (voir fiscalité) Le résultat présenté ne constitue pas une prévision de la performance future de vos investissements. Il a seulement pour but d’illustrer les mécanismes de votre investissement sur la durée de placement. L’évolution de la valeur de votre investissement pourra s’écarter de ce qui est affiché, à la hausse comme à la baisse. |
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Le porteur de projet en quelques chiffres
Une société française
1er Producteur français d'énergie 100% renouvelable
Créée en
1943
Chiffre d'affaires
1 718 539 000 en 2021
Puissance totale installée
4 038 MW
Portefeuille de projets
4 038 MW de puissance installée
189 MWc en photovoltaïque avec 59 centrales
752 MW en éolien avec 59 parcs